Bordeaux 1980 Berlin 1961 Rome 2020. Trois pays, trois villes, trois époques, trois femmes. Trois femmes qui vont vivre chacune une histoire d’amour. L’une d’elle est étudiante. Elle adresse à l’élu, son professeur, des messages anonymes assortis d’une poésie. Elle va se dévoiler. Elle vient d’Allemagne de l’Est. Il résiste, lutte, se sent déstabilisé, la passion refleurit en lui. L’autre vit à Berlin. Elle rencontre un jeune soldat français pour vivre un amour incandescent. Un matin, un mur sépare la ville en deux. Un enfant va naître. Une fille. Et lui, où est-il? La troisième, journaliste allemande, vient à Rome pour effectuer un stage de reconversion afin de devenir reporter image. Son tuteur est bien plus jeune qu’elle. Ils vont travailler ensemble, découvrir la ville qui s’immobilise quand un virus apparaît, il se passe quelque chose entre eux. De l’attirance, de l’intérêt, des questions. Il faudrait oser s’affranchir des   convenances.  L’époque diffère, le destin peut-il s’acharner ? Y a-t-il bien trois femmes ? Deux, ou bien une seule?

Adalberto Belladone pourrait-il être l’une de ces femmes en nous contant les deux versants de l’amour quand il survient au  moment où on ne l’attend pas ? Quand il est exigeant. S’ils sont deux à s’aimer, l’un est un homme, l’autre est une femme.   Chacun donne sa réponse.   Selon une histoire. La même pour ces femmes. Cette femme?